Laissez parler votre créativité, rivalisez d’ingéniosité, dévoilez vos compétences pour cogiter en équipes pluridisciplinaires et entourés d’experts du sujet.
QUAND ?
Du vendredi 6 avril 18h,
au dimanche 8 avril 20h
OÙ ?
42
96 Bvd Bessières, 75017 Paris
Veuillez remplir les champs ci-dessous pour valider votre inscription, vous recevrez ensuite un e-mail de confirmation et votre invitation personnelle.
Laissez parler votre créativité, rivalisez d’ingéniosité, dévoilez vos compétences pour cogiter en équipes pluridisciplinaires et entourés d’experts du sujet.
QUAND ?
Du vendredi 6 avril 18h,
au dimanche 8 avril 20h
OÙ ?
42
96 Bvd Bessières, 75017 Paris
Le contexte
ARTEMIS (GROUPE SOS) initie un hackathon sur le discours alternatif à la propagande djihadiste.
Face aux problèmes de radicalisation, quel discours ? Quel engagement alternatif ? Comment trouver des projets plus mobilisateurs que ceux proposés par la propagande djihadiste à des jeunes en quête de sens ? Comment contrecarrer la campagne de séduction conduite en ligne par les réseaux djihadistes? Tels seront les sujets au cœur du Hackaton qui se tiendra le week-end des 7 et 8 avril à l’Ecole 42.
Organisée par l’association ARTEMIS, cet évènement laisse place à l’imagination des jeunes, des acteurs du numérique, des adeptes de la communication digitale exprimer toute leur créativité au service d’une noble cause. Mettre de côté le contre-discours frontal l’espace d’un week-end, pour porter un discours alternatif, activant les ressorts profonds de l’engagement citoyen telle que l’émotion via l’art et la culture, seront les leitmotivs de l’événement. Les plus créatifs seront bien évidemment récompensés.
3 projets récompensés
1er Prix : 2000 euros à partager entre les membres de l'équipe + un accompagnement de 3 mois en incubateur.
2e Prix : 2000 à partager entre les membres de l'équipe.
3e Prix : 1000 euros à partager entre les membres de l'équipe + session de formation chez facebook.
Les problématiques à integrer
Quelle population-cible toucher et comment optimiser la diffusion d’un contenu auprès des jeunes âgés entre 12 et 26 ans ?
Selon le Fichier de signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), au 1er mars 2017, la radicalisation en France concerne de plus en plus de jeunes (12-26 ans), récemment convertis et, notamment, de genre féminin. Ce segment de la population constitue une cible prioritaire pour la propagande djihadiste. Comment optimiser la diffusion, sur le net, de notre contenu auprès de cette frange de la jeunesse ?
Quel contenu et quelle forme : quel type d’engagement alternatif ? Quelle forme pour encourager les jeunes à s’engager de manière citoyenne ?
Mettre de côté le contre-discours frontal, pour privilégier l’émergence d’un discours alternatif, valorisant l’engagement, inspirant, conçu par et pour les jeunes. Le discours alternatif s’appuiera sur les mêmes ressorts que la propagande djihadiste pour proposer de nouveaux modes d’engagement citoyens et collectifs. Ainsi, la propagande djihadiste, imprégnée des théories du complot, repose sur une stratégie rhétorique (story-telling du combattant, discours eschatologique, contradictions de l’Occident) et ressorts psychologiques (émotion, sentiment d’appartenance, quête de sens, servir une cause juste) spécifiques. Le discours djihadiste fait appel à l’héroïsme, le sentiment d’appartenance, servir une cause juste : à nous de répondre à ces ressorts en valorisant des engagements citoyens attractifs et mobilisateurs qui parlent à la jeunesse !
La diffusion : Quels moyens pour valoriser cet engagement citoyen alternatif, notamment sur le net ?
Le discours djihadiste passe par des canaux de communication populaires chez les jeunes (YouTube, Facebook, Twitter) et des applications de chat sécurisées. Une fois le contenu obtenu comment le diffuser efficacement et largement en adoptant les modes de communication de la jeunesse ?
Veuillez remplir les champs ci-dessous pour valider votre inscription, vous recevrez ensuite un email de confirmation et plus d'information sur l'événement.
Laissez parler votre créativité, rivalisez d'ingéniosité, dévoilez vos compétences pour cogiter en équipes pluridisciplinaires et internationales aux côtés de coach consultants
QUAND ?
Vendredi 24 novembre 12h, au samedi 25 novembre 21h30
OU ?
42
96 Bvd Bessières, 75017 Paris
Laissez parler votre créativité, rivalisez d'ingéniosité, dévoilez vos compétences pour cogiter en équipes pluridisciplinaires et internationales aux côtés de coach consultants
QUAND ?
Vendredi 24 novembre 12h, au samedi 25 novembre 21h30
OU ?
42
96 Bvd Bessières, 75017 Paris
De nombreux lots à gagner
Une enveloppe d’une valeur de 5000 €,
à partager entre les membres d’une même équipe sera proposée pour les lauréats de chacun des défis proposés.
L’occasion également de vous faire repérer par les représentants RH/recrutement des cabinets de conseil présents sur place.
Un jury d'exception
Chefs de grandes entreprises, représentants du monde politique et institutionnel, directeurs/présidents de cabinets de conseil en stratégie, etc.
Trajets remboursés*
*Les étudiants de région pourront bénéficier d’un remboursement de billet de train – sur la base d’un aller-retour en 2nd classe – ou de leurs frais de covoiturage.
Ces remboursements ne pourront s’effectuer que sur présentation des pièces justificatives originales, après avoir rempli un formulaire dédié et transmis leur RIB.
Pour plus d’information adresser un email à lderinger@fafiec.fr.
Chaque année entre 140 000 et 150 000 élèves quittent l’école précocement sans avoir obtenu de diplôme. Parmi les 18-24 ans, 21,7 % n’ont aucun diplôme ou uniquement le brevet des collèges. En 2010, le taux de chômage des non diplômés, ou diplômés du seul brevet des collèges, est 4,5 fois plus élevé que celui des diplômés avec un risque important d’exclusion sociale. Par ailleurs 750 000 jeunes arrivent chaque année sur le marché du travail et près d’un jeune de moins de 25 ans sur quatre (23,7%) était sans emploi en mars 2017. Ainsi en France la problématique d’accès à l’emploi, tout particulièrement au premier d’entre eux, reste critique pour une part de la population, et ce quelles que soient les raisons qui expliquent l’éloignement : handicap, éloignement géographique, illettrisme, manque de formations – ou formation non adaptée aux besoins actuels des entreprises - …
1. Comment résoudre les difficultés d’accès au marché de l’emploi ?
2. Quel est le rôle de l’apprentissage ?
3. Quelles solutions nouvelles le numérique apporte-t-il ?
Dans 10 ans un tiers des emplois actuellement occupés par des humains pourraient l’être par des robots… Va dès lors se poser la question de la réorientation et de l’adaptabilité professionnelles des personnes que cette révolution digitale pourrait laisser « sur le carreau », tout particulièrement lorsque ces personnes sont des seniors en fin de carrière. Dans une étude de l’AFPA de mars 2014, 88% des salariés se disaient prêts à suivre une formation pour un secteur qui recrute. 60% des sondés déclaraient avoir déjà changé une fois d’orientation professionnelle et pour 65% des DRH interrogés, les reconvertis constituaient un atout pour l’entreprise.
1. Comment redéployer massivement les compétences et les métiers ? Quels dispositifs nouveaux (et véritablement efficaces) pour mettre en œuvre la formation professionnelle ?
2. Quel rôle de l’entreprise, et celui du salarié, dans le maintien et le développement des compétences et des savoirs adaptés au monde d’aujourd’hui ?
3. Comment favoriser les passages d’un secteur d’activité à un autre ?
Durement évaluée dans les classements internationaux, la formation initiale en France n’est plus aujourd’hui considérée comme la mieux adaptée pour préparer les nouvelles générations. En 2016, le classement PISA en sciences plaçait la France en 26eme position. Alors que dans l’OCDE, près d’un élève sur quatre envisage d’exercer une profession scientifique qui nécessitera un diplôme de l’enseignement supérieur, cette aspiration ne concerne qu’un Français sur cinq. La question de la modernisation des apprentissages se pose dès lors de manière urgente, modernisation pédagogique, technologique mais aussi en termes de proximité avec le monde de l’entreprise.
1. Quelles innovations pédagogiques mettre en œuvre pour accroître la qualité des apprentissages ? Quelle place pour l’expérimentation ?
2. Comment développer les managers de l’ère digitale (Inclusion, Collaboration, Ouverture, Agilité, …)
3. Comment créer plus de liens entre l’école et l’entreprise, dès le plus jeune âge ?
554 000 entreprises ont été créées en 2016, selon l'Insee. C'est 6% de plus que l'année précédente. C'est la plus forte progression enregistrée en six ans et c'est 6% de plus qu'en 2015. Dans le même temps, la BPI aura financé en 2016 3 600 start-up contre 1 600 en 2013, et la France compte aujourd’hui 200 fonds d’investissement, contre 100 en Allemagne. Selon un classement du World Economic Forum, Paris émargerait même en troisième position mondiale derrière San Francisco et New York. Autonomie, prise de risque, confiance en soi, vitesse, agilité sur projet… l’entrepreneuriat nécessite des savoir-être et compétences qui n’ont pas toujours été au centre des enseignements en France. Pourtant les français sont de plus en plus nombreux à souhaiter « se mettre à leur compte ». Alors comment apprendre à devenir entrepreneur ?
1. Comment l’entreprise vient-elle à l’école ?
2. Comment rapprocher le monde des campus et celui des start-ups ? Comment développer les occasions d’incubation ?
3. Quelles solutions technologiques, ou ludiques, développer pour faciliter l’appropriation de l’esprit d’entreprise ?
Vous souhaitez recevoir plus d'information ?
« Hackathon financé et piloté par le Fafiec selon des axes de coopération définis dans la convention signée avec le Ministère de l’Education Nationale et le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. »